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REPRISE DE NOS SESSIONS LE JEUDI 28 SEPTEMBRE

Pratiquer la pleine présence, c’est vivre heureux et libre, c’est cultiver l’harmonie du bien-vivre ensemble en équilibre avec notre monde. Pratiquer la pleine présence c’est faire du bien à soi, aux autres et à la planète.

Denys Rinpoché ( le grand livre de la pleine présence.)

Bonjour à toutes et tous !

Voici l’été qui se termine et déjà, des envies de vacances nous traversent à nouveau le corps et l’esprit. Le jeudi 28 septembre le loka de Saint-Etienne reprends ses sessions de méditations à 19h00 au Centre Social de Beaulieu.

Ces sessions de Pleine Présence sont naturellement ouvertes à tout le monde. Il s’agit d’ une pratique naturelle et universelle, non confessionnelle. C’est un patrimoine universel de l’humanité qui ne dépend ni appartient à aucune religion ou philosophie.

C’est dire que quiconque peut en retirer les bienfaits ! Alors, que vous soyez débutant ou déjà pratiquant avéré, venez essayer ou consolider votre pratique méditative, dans l’assise et dans l’action, dans un cercle d’ amicale bienveillance.

De tout coeur,

André et Jacques

Bonne Vacance

ou bonnes vacances ?

Institut Pleine Présence AOM

II s’agit non pas d’essayer d’aller au-delà de ses projections, mais plutôt de lâcher ce qu’il y a en-deçà.

Expliquons-nous : il ne s’agit pas de vouloir transcender quelque forme d’illusion en utilisant quelque méthode, je ne sais, pour aller au-delà. Il s’agit, avec l’en-deçà, c’est-à dire l’ici — il y a ici et là — Ici un observateur sujet et là des objets observés, il y a ici un esprit, moi, il y a là des objets ou en quelque sorte des projections, et il ne s’agit pas que le « moi-je » aille au-delà des projections, mais il s’agit que cet ici que je suis se détende, se lâche, se relâche, soit en relâche ou en vacance.

Cette vacance a une qualité de « wait and see», une qualité de vide. La vacance. Dans le mot «vacance » il y a l’idée de quelque chose qui est vacant. Un poste vacant, c’est un poste vide.

Eh bien, nous laissons le poste de l’observateur avec cette qualité de vacance, vacant. Et ce relâchement de l’observateur, de nous-mêmes, ce lâcher prise est précisément ce qui va permettre le dépassement de nos projections. La solidité de l’ici est proportionnelle à la solidité du là.

La solidité de l’observateur est proportionnelle à la solidité de l’observé.

La solidité de l’en-deçà, ici, est proportionnelle à celle de l’au-delà, là-bas.

Le soutra du coeur- Denys Rinpoché

(Jethro Buck)

Henri Gougaud

Speo5ti,11s60:975a a · Nous ne nous entendons plus. Imaginez qu’un ange, qu’un Esprit d’arbre ou de rivière (à supposer, bien sûr, qu’ils existent), veuillent nous dire quelque chose. Comment pourraient-ils y parvenir ? Toutes les lignes de notre entendement sonnent sans cesse « occupé ». Sans cesse nous sommes tirés hors de nous par mille bruits, lumières, images plus ou moins terri-bles dont nous ne pouvons rien faire, sauf de l’euphorie sportive et de l’angoisse de bombardés. Alors, que pèse le conte, dans ce tumulte ? Ce que pèse une pomme face à la famine. Dans le monde, rien. Dans la vie, pour celui qui la mange, elle peut être un miracle, l’aube d’une renaissance.